Je sais que j’avance dans une impasse.
Un coin de ciel bleu au-dessus de ma tête. Des murs.
Que je marche, que je cours, ou que je crie,
Le couloir n’a pas d’autre issue.
Mais derrière le mur il y’a un monde.
Je frappe de toute ma tristesse. Un jour il cèdera.
Ou peut-être existe-t-il un souterrain ?
Mes ongles sont usés d’avoir creusé la terre.
Un jour je toucherai le fond de l’impasse.
Jamais je n’oserai escalader le mur…
Pauvre petit !