Ton mépris ne m’inspire que mépris ;
Plus tu te joues de moi, plus je ris,
Petit destin.
Comment, malgré ta petitesse ;
Oses-tu me tenir en laisse,
Petit destin ?
Cache-toi derrière un foulard, et pleure
Le chemin manqué du bonheur,
Petit destin…
Mais ni mes mots, ni ton foulard de soie,
Ne te protègeront de mon mépris sournois,
Petit destin !