Mon âme…
Tu n’es pas comme celles-là,
qui cherchent à étaler leur douleur
Inlassablement, irrévérencieusement ;
Ni de celles qui se cachent
derrière un secret trop amer,
Et que ronge le remords ;
Mais tu donnes à la vie sa chance,
à la poésie son écot
Péniblement, paisiblement.